• Michel François & Jean-Luc Moulène in The Absent Museum at Wiels Contemporary Art Centre, Brussels

    Michel François & Jean-Luc Moulène in The Absent Museum at Wiels Contemporary Art Centre, Brussels

    The Absent Museum

    20 April - 13 August, 2017

    Wiels Contemporary Art Centre, Brussels

     

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  • Abraham Cruzvilegas and Michel François: XII Havana Biennale 2015

    Abraham Cruzvilegas and Michel François: XII Havana Biennale 2015

    Abraham Cruzvillegas and Michel François

    XII Havana Biennale 2015: Between the Idea and Experience

    22 May - 22 June, 2015

     

     

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  • Michel Francois: Pieces of Evidence, Ikon Gallery, Birmingham

    Michel Francois: Pieces of Evidence, Ikon Gallery, Birmingham

    Michel Francois: Pieces of Evidence 

    Ikon Gallery, Birmingham, UK

    April 30- June 22, 2014

     

    Ikon presents the first UK survey of work by Belgian artist Michel François, comprising sculpture, film and photography. It exemplifies the artist's conviction that the meanings of a work of art are determined through its combination with others in relation to an exhibition space. Visitors to Ikon encounter numerous pieces to be read as a whole, integrated with the entire building.

     

    The exhibition title, Pieces of evidence, refers to François' fascination with a netherworld, drawing comparisons between the ingenuity of artists and criminals. The key installation here involves a projected film in which we see the hands of a magician skilfully examining everyday objects - drinks cans, cosmetic bottles - before revealing hidden compartments and illegal substances within. The objects themselves are exhibited in vitrines nearby. Another work, Stumbling Block II (Wall) (1989), is a large rectangular block of polystyrene secured to the wall with strips of brown tape, a sculptural translation of a convicted smuggler's failed attempt to conceal drugs by strapping them across their body. An art object is likened to contraband.

    The idea of crossing international frontiers - illegally or otherwise - is conveyed by Surveying(1993), a video of an inchworm walking over a map of the world. This funny creature signifies the artist's free spirit with respect to art as much as his geographical itinerancy, a kind of energy that spurs us to keep moving, keep looking, and keep asking questions.

     

    Likewise,Golden Cage 1 (2008-2009), considers the notion of frontiers. A large free-standing steel box, from which A4-sized sections have been uniformly cut, it is a structure on the verge of collapse. It is a cage with walls that resemble the gilded left-overs of a manufacturing process, with cut out shapes scattered within. François presents this work as symbolic of human migration across the Mexican/US border, the hollow dreams of finding a better place, the cage being desirable in a way that its contents are not.

     

    A further work, Self-Portrait Against Nature (2002), shows the artist, seen from above, walking around on a hard concrete floor and smoking while empty wine bottles drop and smash around him. It suggests a kind of solitude and self-destructiveness that throw any hints of joy into sharp relief. Broken Neon Lights (2003), has a similar edginess as François stamps his feet through a path of neon tubes, laid widthways, resulting in lots more broken glass. The action is transgressive and the feeling one of anger.

     

    The exhibition is accompanied by a new publication featuring a text by writer and critic Martin Herbert.

    Michel François' exhibition Pieces of evidence is supported by The Henry Moore Foundation;Wallonie-Bruxelles International; Lafarge Tarmac; Bortolami Gallery, New York; Galerie Carlier Gebauer, Berlin; Galerie Kamel Mennour, Paris; Thomas Dane Gallery, London and Galerie Xavier Hufkens, Brussels.

     

     

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  • Michel François: Une Exposition Universelle (section documentaire), Biennale de Louvain-la-Neuve and Musee de Louvain-la-Neuve, Belgium

    Michel François: Une Exposition Universelle (section documentaire), Biennale de Louvain-la-Neuve and Musee de Louvain-la-Neuve, Belgium

    J'ai observé toutes les oeuvres qui s’accomplissent sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. (L’Ecclésiaste)

    Dans le puits central du Musée de Louvain-la-Neuve, une installation associera entre six et dix groupes de « vanités ». Ces groupes sont issus des réserves du musée ainsi que des collections scientifiques de l’UCL. Constitués d’artefacts ou objets pédagogiques, ces objets sont présentés au public avec leur dispositif de protection ou de stockage de manière identique (ou similaire) à leur mode de stockage en réserve. Il ne s’agit pas de déplacer une réserve entière, ou de reproduire exactement leur mode de stockage. Pour des raisons pratiques et artistiques, certains groupes nécessiteront des adaptations.


    Avec ce projet, le désir des commissaires de la Biennale est de rendre visible la trace des gestes protecteurs de la pensée patrimoniale. Il s’agit d’en révéler la poésie invisible, en évoquant par là même les représentations de vanités ainsi que la poétique de la ruine dans l’histoire de l’art, de la peinture flamande du 16e, au style architectural des années 1980, en passant par les romantiques. Montrer ces artefacts avec leur habitat de conservation, c’est comme mettre en lumière leur état de double mort. Vanité du savoir, de la prospérité, de la connaissance universelle, ces "memento mori" proposent une expérience contemplative et intellectuelle riche pour le public.


    Dans le parcours de la Biennale, le Musée de Louvain-la-Neuve proposera une exposition temporaire didactique qui présentera quelques méthodes d’analyses scientifiques appliquées aux oeuvres d’art et livrera au public certaines interrogations qui guident les actions des chercheurs au musée. Tout le long du parcours, des exemples concrets permettront aux visiteurs de comprendre le but des examens et ainsi de pénétrer de plus en plus profondément dans les secrets des oeuvres d’art.

    Le chercheur pose en effet un regard sur l’oeuvre et l’analyse. Il cherche à savoir, à comprendre, à voir au-delà de l’image et à voir dans l’au-delà de l’Image. Il invente des méthodes pour voir à travers l’oeuvre. Il développe des systèmes rigoureux d’observation des objets pour interpréter les composants, pour tenter d’arrêter les affres du temps, pour connaître l’oeuvre dans toute sa profondeur. Il rend son savoir concret et perceptible en produisant de la documentation. 

    Les oeuvres sont éphémères mais le musée a le souci de les rendre éternelles pour les sauver et les transmettre aux générations futures. Dans la connaissance, il y a pourtant quelque chose qui s’apparente à la mort. Le savoir fige les choses dans un concept, les conçoit comme non-être, les immobilise…

    Comment des documents, fruits d’observation et d’analyses scientifiques modifient notre perception, notre compréhension et notre appréhension de l’oeuvre ? L’essence de l’oeuvre est-elle dans le regard que nous lui portons ? L’analyse scientifique de l’oeuvre d’art crée-t-elle une nouvelle esthétique ?

    Certes, le temps passe, le chercheur sait qu’il ne peut l’arrêter et que chaque oeuvre a sa part de mystère. Comment, par le développement de méthodes de plus en plus précises, le chercheur réussit peu à peu à percer l’essence même de la matière ?